Voici le parcours d’une courtière immobilière qui incarne à merveille la résilience et le renouveau.

En 2010, Donna MacDonald voit sa vie bouleversée. Son mariage prend fin et deux jours plus tard, sa sœur aînée, Lynda Lyster, périt dans un accident de voiture. Ces drames personnels coïncident avec une perte d’enthousiasme pour la carrière qu’elle poursuit depuis 25 ans dans le secteur bancaire. Face à ces épreuves, elle décide de se réinventer professionnellement.

Mme MacDonald s’oriente alors vers le courtage hypothécaire. Sa persévérance et son approche innovante, notamment l’adoption d’une nouvelle identité professionnelle et l’utilisation de produits financiers novateurs comme Manuvie Un, transforment sa carrière. Ses efforts sont même couronnés de succès en 2021, lorsqu’elle reçoit le titre de courtière de l’année.

« La perte d’un être cher vous pousse à réfléchir au sens de votre vie et à vos priorités, confie Mme MacDonald. Ça vous rappelle la fragilité de l’existence. Si vous envisagez des changements, n’attendez pas. Demain n’est jamais garanti. »

En quête d’un nouveau défi

Donna MacDonald a travaillé un quart de siècle dans les grandes institutions bancaires du Canada et d’Europe, et elle a même ouvert sa propre succursale à Carleton Place, près d’Ottawa. L’année de son ouverture, c’était la nouvelle succursale la plus performante de la banque dans le pays.

« J’avais vraiment atteint l’apogée de ma carrière bancaire, se souvient Mme MacDonald. Le secteur avait évolué, on ne gérait plus les choses de la même façon… J’ai donc choisi de me reconvertir et d’obtenir mon permis de courtière. » Elle ajoute qu’un ami l’encourageait depuis longtemps à changer de voie. « J’ai quitté mon poste de directrice en octobre 2012. Avec le recul, j’aurais dû faire ce choix deux décennies plus tôt. »

Nouvelle identité, nouvelle entreprise, même motivation

Au début, la transition s’est révélée ardue. La communauté connaissait Mme MacDonald sous son nom de mariage, qu’elle a délaissé après son divorce. Pour pallier ce changement, elle a opté pour une stratégie de marketing audacieuse : louer un panneau publicitaire en ville et habiller sa voiture d’une publicité arborant son portrait.

« Je répugnais à utiliser ma photo dans mes campagnes, raconte Mme MacDonald, mais il fallait établir un lien entre mon ancienne et ma nouvelle identité professionnelle. Cette approche s’est avérée payante. Les gens ont oublié mon ancien nom, mais m’ont reconnue grâce à mon visage. C’était une tactique judicieuse. »

Au cours de cette première année, la courtière avoue avoir à peine gagné sa vie. Néanmoins, elle appréciait son indépendance et la possibilité d’aider des clients qu’elle aurait dû écarter auparavant. « Dans une banque, explique-t-elle, les critères sont très restrictifs. Les clients doivent avoir un excellent crédit, des revenus considérables et un parcours irréprochable. Mais en tant que courtière, je peux accompagner un plus large éventail de personnes. »

Pour Donna MacDonald, chaque accord conclu est une victoire. Or, depuis qu’elle s’est lancée dans le courtage, ces succès se sont multipliés. « Ces réussites sont ma source de motivation. Je mesure d’ailleurs mon épanouissement à mon enthousiasme matinal. Quand je me lève impatiente de rejoindre mon bureau, je me sens comblée. »

Multiplier les succès avec Manuvie Un

Donna MacDonald aimait disposer d’un large éventail de solutions pour répondre aux besoins variés de sa clientèle. Elle a cependant fini par découvrir qu’une option se démarquait nettement. Elle avait certes proposé l’hypothèque Manuvie Un à quelques clients au fil des ans, mais elle ne le faisait que sur demande expresse.

« Puis, se souvient Mme MacDonald, quelque chose a changé en 2020 quand un client m’a sollicitée pour ce produit. En étudiant son dossier, j’ai commencé à en saisir les avantages. J’étais curieuse : je voulais comprendre l’enthousiasme du client à l’idée d’ouvrir ce compte Manuvie Un. »

Vers la même époque, la fille et le gendre de MacDonald cherchaient eux-mêmes une solution financière, tout en essayant de mettre de l’argent de côté en vue d’une adoption.

« J’ai recommandé Manuvie Un à ma fille et à son mari, raconte Mme MacDonald. Leur satisfaction m’a encore poussée à approfondir le sujet. Depuis, j’ai proposé ce type de compte à ma belle-fille et je le suggère à la plupart de mes clients qui sont susceptibles d’en tirer profit. »

Contrairement aux prêts hypothécaires traditionnels, Manuvie Un calcule les intérêts quotidiennement et non semestriellement. Il fonctionne à la fois comme un compte bancaire et un produit hypothécaire. Selon Mme MacDonald, cette double spécificité peut faire épargner aux emprunteurs des dizaines de milliers de dollars en intérêts, particulièrement dans un contexte de taux élevés.

« Manuvie Un se place dans une catégorie à part grâce à ces deux caractéristiques, affirme Mme MacDonald. Je faillirais à mon devoir de courtière si je n’incluais pas cette option dans ma palette de solutions. »

Dix ans après avoir quitté le secteur bancaire, Donna MacDonald se classe parmi les 10 % des meilleurs professionnels de l’Alliance hypothécaire et elle a été sacrée courtière de l’année en 2021. L’histoire est aussi touchante à d’autres niveaux : un peu plus d’un an après la finalisation de leur prêt, la fille et le gendre de Mme MacDonald sont sur le point de concrétiser leur projet familial.

« Je suis reconnaissante envers Manuvie de leur avoir offert cette opportunité, se réjouit la courtière. Avoir contribué à ce résultat représente une victoire de plus. »

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Last modified: novembre 4, 2024